Ils sont regroupés au sein d’une plateforme pour le développement des secteurs du tourisme, de la culture et de l’artisanat. Des personnes physiques et morales qui croient dur comme fer à l’épanouissement de leur fédération (la FATCA) qui est en cours de structuration.
La fédération des acteurs du tourisme, de la culture et de l’artisanat que préside monsieur Van Mathieu ambitionne d’élaborer des projets au bénéfice des trois secteurs, de nouer des partenariats avec des organismes étrangers, de valoriser des artisans et les artistes dans leurs transversalité, en organisant des activités autours de leurs œuvres entre autres. Dans un quartier du nord de Brazzaville, la fédération, dans le cadre d’un fonctionnement informel, dispose d’un espace qu’elle met à la disposition des artistes pour s’exprimer. Des spectacles y sont organisés.
A ce jour, une commission ad hoc des dynamiques membres de la plateforme multiplient les rencontres consacrées à la finalisation des documents administratifs de l’association, en vue de l’enregistrement de celle-ci auprès des autorités compétente. Mais en même temps, élargir la palette des membres. Au sortir de l’une de ces réunions tenue dans la soirée du mardi 14 juin 2022 au siège de la plateforme, Alain IBATA, son secrétaire général l’a dit : « …Nous sommes animés par le soucis d’élargir notre fédération. Nous avons présenté aux membres le niveau d’avancement du travail que nous sommes en train de faire. La prochaine étape est l’amendement des documents que nous avons déjà commencé à élaborer, ainsi que la mise en place du bureau définitif de la fédération. A l’issue de ce travail préparatoire nous convoquerons une assemblée générale qui adoptera les documents avant le dépôt du dossier d’enregistrement auprès des autorités ».
Le travail de la fédération des acteurs du tourisme, de la culture et de l’artisanat va s’adosser à trois piliers. Le plan national de développement, l’agenda 2063 de l’Union Africaine et la vision 2030 des Nations unies. « Nous ne pouvons pas nous mettre en dehors des visons des pouvoirs publics. Nous pensons qu’il faut s’inspirer des plans nationaux et internationaux parce que tout ce que nous faisons c’est dans le cadre du développement de notre pays et nous ne pouvons pas exclure l’international. Ces plans sont donc pour nous des gouvernes pour notre travail », a renchérit Alain IBATA.
Photo : La photo de famille après de réunion mardi 14 juin 2022 (Crédit Groupe Congo Médias)
